Viv2

Vivarium




Vivarium

Saison 2 ~ Jugement Dernier~

Vivarium

Terreur sur le Vival

Un an…. Un an depuis qu’un groupe d’aventuriers a réveillé l’Humain Quetzal dans son combat contre une faction rebelle Owlienne. Cela aurait pu s’avérer bénéfique si Quetzal, d’un cynisme absolu, n’avait pas prophétisé la « fin du projet Vivarium », tout en faisant exploser Redwall, la capitale de la CFA. La période qui a suivi, a vu la scission de la CFA en deux factions : les adeptes et convertis de Quetzal, le Régime Quetzalan, et les restes de la CFA, la Resistance des Âges. Ces derniers n’ont eu d’autre choix que de se réfugier sur une île au nord du Vival grâce à l’aide des Otterhans, et de mener le combat, reclus, depuis leur position. Pour couronner le tout, c’est au réveil de Quetzal que Molérine, leader de la République Molérienne, a décidé d’activer son plan « Grand Jour « et de débarquer des ruines des cités humaines avec des chars d’assauts, prêt à conquérir la surface. Vous remarquerez que si je n’ai toujours pas abordé le cas d’Owlia, c’est tout simplement que ceux-ci ne sont pas réapparus depuis l’éveil de Quetzal et que toute tentative pour les contacter à, pour l’instant, échoué. La paix entre les nations aura donc été de très courte durée et la guerre ravage une fois de plus le monde de Vivarium. Durant cette campagne, vous serez souvent traqués, en infériorité numérique, plongés dans des endroits où la mort guette à chaque coin de rue. Alors sortez vos armes, planifiez vos stratégies de guérilla, one-shootez mes boss et priez Dame Chance car si Quetzal, s’est montré plutôt passif jusqu’à présent, peut-être que le Jugement Dernier n’est plus très loin….

Terreur sur le Vival

Sommaire

La Seconde Guerre des Quatre 1) Nouvelles frontières 2) Régime Quetzalan 3) La Résistance des Âges 4) L’Avant-garde du Grand-Jour molérienne 5) La Nation Otterhanne Le Système de jeu 6) Combattre 7) Résiste ! 8) Sur les routes 9) Mode Campement

Sommaire

La Seconde Guerre

des Quatre

La Seconde Guerre


Nouvelles frontières

Le retour de Quetzal et la tentative d’invasion molérienne ont quelque peu rebattu la carte du Vival. Faisons donc un petit tour d’horizon des nouvelles frontières au début de l’an 109. New – Red, la lumière dans la tempête Située sur une île au nord du Vival, New-Red est le point de ralliement de la Résistance des Âges. Cette mini-cité fortifiée a pu être construite rapidement grâce aux efforts coordonnées des Artisans Suidais et aux Charpentiers Castotterhans. Avec son accès direct sur la mer de Tune, cet endroit est une base de lancement idéale pour les opérations de la Résistance. Sur chaque tour des remparts, on retrouve de grosses balistes chargées par des épieux d’acier renforcés pouvant, aux dires des forgerons Suidais, transpercer le blindage d’un Fenris ou quelque autre monstre que leur enverra Quetzal. La ville a été pensé comme un dédale de rues, gravitant autour de 3 places, principalement pour pouvoir semer n’importe quel assaillant. La rumeur voudrait que, sous ces places, se trouvent des souterrains reliés à des cavernes plus loin sur la côté, contenant des bâteaux Otterhans, prêt pour une évacuation. Même si l’ex-CFA pleure encore son ancienne capitale, New-Red n’a pas à rougir de celle-ci

Nouvelles frontières

Coulée d’ Amate, l’enfer du Nord

Peu de temps après le réveil de Quetzal, une énorme coulée de lave à commencé à descendre des Montagnes Amate, détruisant irrémédiablement toute la région alentour. Personne ne sait exactement ce qui a déclenché ce déchainement de flammes mais de nombreuses théories se sont propagées. La Résistance y voit une énième machination de Quetzal pour mettre sa menace à exécution. L’explication donnée par le Régime Quetzalan et similaire à ceux de leurs ennemis : « la purification des impurs par un torrent de flamme ». Les Molériens quant à eux voient un signe d’Amate, leur déesse, un signe des signes confirmant leur retour à la surface. D’autres théories existent mais sont encore plus étranges (lire l’encadré) Les seuls qui auraient pu avoir un début de piste sur les évènements, sont les Explorateurs de la CFA possédants des campements un peu partout dans les Montagnes Amate. La plupart d’entre eux ont malheureusement péri lors des premières coulées et les rares rescapés revenant vers New-Everett ont soit été accueillis par des balles de fusils Molériens, ou sont décédés en chemin. Cela fait maintenant 9 mois que des flots ininterrompus de lave se propage et le phénomène n’a pas l’air de faiblir. L’évènement est encore moins anodin qu’on pourrait le croire. Les habitants de la ville la plus proche, Castoport, vivent maintenant dans l’incertitude et dans la peur de devoir évacuer les lieux. En effet cela serait un tournant dans la Guerre si les Castotterhans devait arrêter la production de bâteaux, donnant l’opportunité au Régime Quetzalan de reprendre un semblant de contrôle sur la mer de Tune et d’avoir une fenêtre d’attaque sur New-Red. L’étrange histoire du charpentier Carson Nail Carson Nail est un charpentier Castotterhans traînant une sale réputation dans Castoport. Alcoolique notoire et empêtré dans pas mal de deals foireux avec des Owliens peu scrupuleux, il a pour mauvaise habitude d’incorporer des petites « améliorations » dans ses bâteaux, ces derniers finissant bien sur pour la plupart, sous l’eau. Toujours est-il que Carson est, selon ses dires, parti explorer en direction de la coulée d’Amate pour tester les roches transformées par la lave. Il aurait vu, là-bas, des silhouettes bouger et rire dans les flammes et les cadavres d’Explorateurs qu’il a rencontré possédaient d’étranges trous au niveau du crâne en plus de la carbonisation. Il a fui rapidement quand les silhouettes semblaient l’avoir vu. Il passe maintenant son temps dans la taverne de Castoport, à raconter son histoire au plus offrant contre de la nourriture. Nouvelles créatures de Quetzal ou délire d’un castor trop porté sur la boisson ? Nul-ne le sait mais les enfants du village s’amusent beaucoup de ces histoires….

Coulée d’ Amate, l’enfer du Nord

Le Cratère Rouge, symbole de la

terreur Il y a des moments que personne n’oublie. Des moments où le temps s’arrête et notre cœur se serre de terreur, devant le fait accompli. C’est un exactement ce type de moment qu’a vécu chaque habitant de la CFA, un après-midi du 12eme mois de l’année 107, quand la capitale de la CFA explosa, entraînant la mort de centaines de personnes et scellant le destin du Vival pour l’année à venir. La forteresse avait pourtant déjà résisté à beaucoup d’assauts par le passé, et se dressait fièrement au milieu de la Forêt des Âges. Il faut croire que le dispositif « Shell » (sorte de bouclier énergétique) qui protégeait la cité, n’était pas prévu pour résister à une explosion interne de cette ampleur. Peutêtre aura-t-il au moins servi à contenir l’explosion dans le périmètre de la ville, condamnant au passage la vie de tous ses habitants. Les Molériens contrôlant la zone d’accès à la Forêt des Âges, il est impossible pour la Résistance d’espérer entamer des fouilles pour retrouver quoi que ce soit (lire l’encadré). Maintenant, il ne reste plus qu’un grand trou, dans les deux sens du terme. Les arbres autour du cratère portent toujours la marque des flammes et ne veulent toujours pas céder leur place à de nouveaux venus. Comme si le sol avait besoin de ces témoins pour rappeler à tous : « Voilà. Voilà ce qu’il va se passer si Quetzal n’est pas stoppé… ». Quid du dispositif Shell ? S’il ne reste visiblement plus rien de Redwall, on pourrait être tenté de croire que le « Shell » n’a été que seulement endommagé et qu’il serait possible qu’il trône au milieu des décombres, prêt à être utilisé par la première personne venue. La Résistance n’a pour l’instant aucune information concernant les Molériens ou la Nation Quetzalan à ce sujet-là mais l’occupation territoriale molérienne empêche tentative d’approche du Cratère Rouge. La liste des victimes n’est pas non plus complète et la situation géopolitique empêche tout recensement des personnes présente à Redwall, ce jour fatidique. Les seuls décès confirmés sont celui de Dame Rose et de Ser Fayne.

Le Cratère Rouge, symbole de la

Le No- Man’s Land, désolation

venue des tréfonds Lorsque son armée a émergé des ruines humaines de Seattle, Everett et Tacoma, Molerine a profité de l'effet surprise et de la rapidité des chars pour gagner un maximum de terrain sur la surface. Bien sûr personne ne pouvait prévoir que des loups géants bloqueraient son avancée. Cette guerre-éclair a complètement ravagé la région à l'orée de la Forêt des Âges. Les villages ont été pillé et détruit, laissant place à des camps militaires et des tranchées. Tout cela résulte en ces terres autrefois fertiles et désormais désolées et arides, le No Man's Land. Il n'y a pas de cartographie précise, ou en tout cas actualisé, des lieux. On peut supposer que certains villages ont été convertis en avant-postes mais sans savoir exactement lesquels. New-Everett doit probablement servir de base avancée principale. La seule chose dont on peut être certain, c'est que si on observe cette région depuis Owlia, on verrait de grandes balafres dans le sol, illustrant les grandes tranchées construites par les Molériens et parsemées de chemins de fer, utilisées pour acheminer du matériel sur la ligne de front (lire l’encadré). Quand on pose la patte pour la première fois dans ce charnier et que l'on contemple les tas de cadavres, de carcasses d’acier, tout en tentant de ne pas relâcher son repas à cause des relents de pourriture, on se dit qu'au final Quetzal n'a peut-être pas tort dans le fond…. Made in Molegrad Situé au nord d’Olympius, la ligne de front oppose le Régime Quetzalan et la République Socialiste Molérienne. Habituellement, les chars T-34 n’auraient dû faire qu’une bouchée de la CFA mais Molérine a visiblement vu ses plans contrariés par Quetzal qui, par la présence des loups Fenris, assure un nouvel équilibre entre les deux forces. Pourtant, les Molériens semblent avoir fait de nouveaux progrès en matière de technologique, surtout vis-à-vis de leur nouvelle tenue de combat, qui à l’air d’assurer une parfaite condition de santé pour les Molérien en surface (surtout au niveau de la vision). Finalement, plus que les T-34, c’est peut-être ça qu’attendait Molerine pour lancer son plan « Grand-Jour ». Peut-être a-t-il enfin creusé au bon endroit ?

Le No- Man’s Land, désolation



Flipbook Gallery

Magazines Gallery

Catalogs Gallery

Reports Gallery

Flyers Gallery

Portfolios Gallery

Art Gallery

Home


Fleepit Digital © 2021