Institutionnelle BLACK SUPERNOVAE
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Vision & Mission
Essayez un instant d’imaginer un monde où les mythes africains, les légendes oubliées et la richesse culturelle de ce continent prennent vie dans des bandes dessinées, des jeux vidéo et des séries animées portées par les fils d’Afrique euxmêmes ? Black SuperNovae a été créé pour matérialiser cette vision. Nous entendons bousculer les codes, rassembler les communautés geek et otaku d’Afrique puis offrir à la jeunesse une tribune unique pour créer, explorer, rêver et se révéler au monde.
Nous sommes fermement convaincus que la culture geek n’est pas que distraction. Elle est devenue une langue universelle, un outil chaque jour plus puissant pour raconter, éduquer, transformer et connecter. Black SuperNovae se donne donc la mission de créer un carrefour où les passions et talents des jeunes africains rencontrent le marché mondial du divertissement et la myriade d’opportunités qui s’y cache.
Notre Histoire
Tout est parti d’un constat. Etant un groupe de jeunes passionnés par les mangas, les animes, les jeux vidéo et les autres éléments de la geekosphère, nous avons toujours ressenti un indicible plaisir à l’idée de nous retrouver à chaque événement organisé par la communauté. Très vite, nous nous sommes rendu compte que les événements tournaient toujours autour d’un même noyau d’activités. D’un organisateur à l’autre, il peut se trouver de légères variations sur la forme de telle ou telle activité, mais dans le fond, rien ne change vraiment. Et pourtant, le cercle de fans et de participants à ces événements ne cesse de s’agrandir de façon exponentielle. Ceci a soulevé en nous une question qui, longtemps, nous a taraudé l’esprit.
Si dans Gbétagbo ou dans Dogbo, un jeune béninois peut connaître les déités nippones Susanoo ou Amateasu et décider de s’habiller à la manière d’un Kojiro Sasaki ou d’un Musashi Miyamoto, pourquoi ne pourrions-nous pas faire en sorte qu’un jeune japonais connaisse Sakpata ou Xèvioso et veuille s’habiller à la manière de Béhanzin ou de Sounon Séro ? Nous nous sommes donc lancé le défi de matérialiser cette vision, de permettre à l’Afrique de se positionner sur l’échiquier mondial du divertissement non plus en tant que simple consommatrice, mais en tant que productrice prolifique.
L’Afrique, voyez-vous, bien qu’étant la terre du mythe et de l’épique, est absente des grandes scènes du contenu geek mondial. Les influences asiatiques, européennes et américaines dominent, occupant naturellement jusqu’à la place que nous avons laissée vide. À titre d’information, le marché cumulé du manga, de l’animation et des jeux vidéos s’élève à des centaines de milliards de dollars US chaque année. L’Afrique contribue à les générer, mais n’en profite que dans des proportions quasiment insignifiantes. Pourtant, nous ne manquons pas de plumes fécondes, nous ne manquons pas de pinceaux fertiles. Nous ne manquons certainement pas d’esprits prolifiques. Mais toutes ces opportunités continuent de nous passer constamment sous le nez. Eh bien, plus pour longtemps !
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